









comment les silences trouvent-ils écho
Comment les silences trouvent-ils écho se réalise lors d’une auto-résidence à Natashquan. Ici, l’objet lumière composé d’ouvertures se faufile à travers la taïga. La surface réfléchissante, membrane sensible, abrite une présence humaine et fait autant corps que paysage dans sa morphologie. Le projet invite à établir un dialogue poétique entre artificiel et naturel. Les textures du territoire se dessinant en écho à travers les fenêtres de la toile, réinventant temporairement la partition du paysage.
Ce projet s’inscrit dans une réflexion continue sur la manière dont nous apprivoisons notre environnement et nous familiarisons avec celui-ci. À travers ces appropriations temporaires de l’espace naturel, le projet explore la notion de discussion, de transparence, mais aussi d’échec dans la communication. Mon intérêt réside dans l’ambiguïté de cette interaction avec l’environnement naturel. Une présence cherche à faire écho, à dialoguer avec ce qui l’entoure. Les ouvertures de la cape se présentent comme une intention de dialoguer, mais le contraste imposé par le matériau réfléchissant crée une dissonance, un échec à se connecter et à fusionner à un niveau plus profond avec avec l’environnement naturel.
Ce projet s’inscrit dans une réflexion continue sur la manière dont nous apprivoisons notre environnement et nous familiarisons avec celui-ci. À travers ces appropriations temporaires de l’espace naturel, le projet explore la notion de discussion, de transparence, mais aussi d’échec dans la communication. Mon intérêt réside dans l’ambiguïté de cette interaction avec l’environnement naturel. Une présence cherche à faire écho, à dialoguer avec ce qui l’entoure. Les ouvertures de la cape se présentent comme une intention de dialoguer, mais le contraste imposé par le matériau réfléchissant crée une dissonance, un échec à se connecter et à fusionner à un niveau plus profond avec avec l’environnement naturel.
Comment les silences trouvent-ils écho (How Do Silences Finds Echo) was created during a self-directed residency in Natashquan. Here, the light-object, composed of openings, weaves its way through the taiga. The reflective surface, a sensitive membrane, shelters a human presence and becomes both body and landscape in its morphology. The project invites a poetic dialogue between the artificial and the natural. The textures of the territory are echoed through the windows of the fabric, temporarily reinventing the partition of the landscape.
This project is part of an ongoing reflection on how we tame and familiarize ourselves with our environment. Through these temporary appropriations of natural space, the work explores the notion of dialogue, transparency, but also failure in communication. My interest lies in the ambiguity of this interaction with the natural environment. A presence seeks to resonate, to engage in dialogue with its surroundings. The openings in the cape appear as an intention to communicate, but the contrast imposed by the reflective material creates a dissonance—a failure to connect and merge on a deeper level with the natural environment.
This project is part of an ongoing reflection on how we tame and familiarize ourselves with our environment. Through these temporary appropriations of natural space, the work explores the notion of dialogue, transparency, but also failure in communication. My interest lies in the ambiguity of this interaction with the natural environment. A presence seeks to resonate, to engage in dialogue with its surroundings. The openings in the cape appear as an intention to communicate, but the contrast imposed by the reflective material creates a dissonance—a failure to connect and merge on a deeper level with the natural environment.
2019
tissu réfléchissant, corde
1,70 m x 2,50 m
ARTCH – marché de l’art émergent, septembre, Montréal (QC)
→ Organe Magazine
crédits photos Michel Paquette et Marion Paquette
© marion paquette, 2019
tissu réfléchissant, corde
1,70 m x 2,50 m
ARTCH – marché de l’art émergent, septembre, Montréal (QC)
→ Organe Magazine
crédits photos Michel Paquette et Marion Paquette
© marion paquette, 2019



impressions jet d'encre sur papier hahnemuhle mat, montage à sec sur composite d'aluminium
5 photographies
édition de 2
format 24" x 36"
6 photographies
édition de 2
format 18" x 27"
5 photographies
édition de 2
format 24" x 36"
6 photographies
édition de 2
format 18" x 27"